Cette simulation est réalisée en croisant des données relatives aux points lumineux (localisation, hauteur) avec une représentation 3D du territoire (modèles numériques de terrain et de surface), permettant de prendre en compte l’effet de masquage de la lumière causé par le relief ou les bâtiments.
Le choix de la hauteur permet d’étudier divers types de situations : personne au sol ou en étage, animal évoluant sur le sol ou espèce volantes, etc.
Ce second niveau d’analyse de la pollution lumineuse directe vise donc à cartographier la « quantité » de lumière reçue en divers points d’une zone d’étude, à une certaine hauteur au-dessus du sol.
Elle est réalisée en croisant des données détaillées sur les sources d’éclairage (puissance, orientation des flux, hauteur, etc.) avec des modèles numériques de terrain et de surface.
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